mercredi 13 juin 2007

Plaisir d'été

Je redécouvre l'été. J'arrive au bureau le matin, et je travailles avec un seul but, revenir jouer dehors. Un peu comme quand on était enfant. Je passe mes samedis et dimanche entier à l'extérieur. C'est différent de l'été 2005, qui fut principalement consacré au mariage. L'année 2006 ne fut guère plus reposant avec la maison. J'occupe donc mes soirées et mes fins de semaine à une activité très glamour: le jardinage. Je râte, je bine, je sarcle, la plupart du temps un peu à l'improviste. Mais je m'en fous, ça me relaxe.

Et puis, je profite de mon patio. Et j'ai bien envie d'organiser un party cet été. Genre, avec les nouveaux amis de Facebook. Qui est partant ?

dimanche 10 juin 2007

Nous avons un lecteur anonyme de prestige!

Salut les mecs, je suis tombé sur cette article aujourd'hui qui parle de la disparité de rendement entre les générations pour la RRQ. Il m'a tout l'air que le ministre des finances fédéral vient faire un tour sur notre blogue!

Ce que j'ai préféré de l'article, c'est quand les provinces ont refusé l'argent du fédéral pour diminuer le passif des régimes de pension....j'imagine que puisque l'argent de pouvait etre dépensée a leur guise, bref aucun controle, bref, aucune possibilité d'acheter des votes..., les provinces ont refusées... encore une fois, on se fait fourrer s'tie!


Flaherty veut régler les disparités générationnelles du régime de pensions
2007-06-08 22:12:00
OTTAWA (PC) - Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a indiqué vendredi que son ministère mènerait des consultations publiques à l'automne afin de trouver un moyen de réduire les disparités dans le rendement du Régime de pensions du Canada entre les générations.
Le ministre a expliqué qu'en raison de ce passif, les jeunes travailleurs paient beaucoup plus que ce qu'auront payé les plus âgés pour leurs allocations de retraite.
En fait tous les travailleurs paient 4,95 pour cent de leur salaire au régime chaque année jusqu'à un plafond fixé par la loi. L'employeur fournit la même somme pour une contribution totale de 9,9 pour cent.
S'il n'y avait pas eu de dettes accumulées, la contribution totale n'aurait besoin d'être que de 5,5 pour cent, soit une économie de 40 pour cent pour les travailleurs et les employeurs.
Ainsi, selon les calculs du ministère des Finances, quelqu'un né en 1990 aura au moment de sa retraite un retour sur son investissement dans le régime de retraite de 2,1 pour cent, alors que quelqu'un né en 1940 touchera 6,2 pour cent.
Dans son premier budget en 2006, le ministre Flaherty avait inclus un plan d'investissement d'une partie des surplus fédéraux dans le Régime de pension du Canada et son équivalent québécois, afin d'éliminer l'important passif des régimes.
La proposition devait aussi aider à réduire le déséquilibre fiscal parce que les régimes sont gérés conjointement par le fédéral et les provinces.
Toutefois, le plan a été rejeté par les provinces l'an dernier lors d'une réunion à Niagara-on-the-Lake. Un groupe de réflexion, l'institut C. D. Howe, avait aussi mis en garde contre un tel projet, plaidant que le gouvernement fédéral pourrait être tenté de piger dans la caisse du régime s'il y contribuait directement.
M. Flaherty a déclaré vendredi que les inégalités entre les générations demeuraient toutefois et qu'il fallait trouver une solution.
Le ministre a précisé que certaines options étudiées à l'automne comporteront des mesures qu'Ottawa pourra appliquer unilatéralement.
La réforme proposée dans le dernier budget devait être approuvée par les deux tiers des provinces qui représentent les deux tiers de la population.