jeudi 20 décembre 2007

De l'absence du Père Noël

Plus qu'une avant-midi de travail et le Père Noël n'est pas encore passé.

J'ai comme l'impression que je vais attendre.

De l'imbécilité des tenanciers de bars

Est-ce que c'est moins, ou la lecture du communiqué de presse joint est absolument incroyable.



R E P R I S E/ - L'UTBQ se réjouit que le taux d'alcoolémie permis au volant reste à 0.08 mais se désole que les bars soient vides. Les clients ne veulent pas fumer dans les bancs de neige! MONTREAL, le 19 déc. /CNW Telbec/ - Julie Boulet, Ministre des
Transports, a dû amender son projet de Loi afin d'y exclure la mesure visant à
réduire le taux d'alcool au volant permis à 0.05mg par 100ml. L'UTBQ s'en
réjouit car celle-ci s'était opposée audit projet de Loi en déposant un
mémoire contre cette position à l'Assemblé Nationale du Québec. Monsieur Peter
Sergakis, président de l'Union des tenanciers de bars du Québec et Madame
Voula Demopoulos, vice-présidente, tiennent à remercier les deux partis
d'opposition d'avoir voté contre cette mesure qui, répétons le, visait la
"mauvaise cible".
Bien que soulagée par cette annonce, l'UTBQ demeure inquiète, car
l'avenir reste incertain pour ses membres. En effet, les clients désertent
d'avantage leurs établissements depuis l'arrivée de cet hiver rude et précoce.
C'est la désolation pour les tenanciers qui vivent cette année les relents des
effets de la Loi sur le tabac attendant toujours les nouveaux clients
non-fumeurs promis par le Gouvernement. L'UTBQ demande au Gouvernement un
assouplissement à la loi sur le tabac, afin de permettre aux tenanciers
d'aménager des fumoirs dans leur établissement pour ramener la clientèle
fumeuse et assurer la survie de plusieurs de ses membres.


Est-ce que je me trompe ou si on a droit à des imbéciles de première classe. Probablement que la plupart des membres de cette union ont des tavernes qui se remplissent à 8 heures le matin.


Franchement, est-ce que c'est seulement moi ou si la situation est ridicule ?





mercredi 19 décembre 2007

De la politique

Petit apparté sur la politique.

Tout d'abord, un petit mot sur l'Association démocratique du Québec !!! Excusez, l'Action démocratique du Québec. Je dois avouer que je suis fort déçu de la performance de Mario Dumont. Tout comme ses ouailles. À part foutre la merde et mettre le feu, on peut pas dire que Super Mario ait fait quelque chose de constructif pour le Québec à date. Comment expliquer que l'ADQ ait pesé sur le bouton panique pour les accomodements raisonnables, et n'ait seulement pas pris le temps de faire préparer un mémoire pour être déposé à la commission Bouchard-Taylor. Est-ce que vous pouvez me nommer 5 actions positives de l'Action démocratique au cours des derniers 8 mois. Personellement, j'ai beaucoup de mal.

Parlons maintenant de ce petit con de Justin Trudeau. Mais qui est-il pour juger la nation québécoise. Petit fils de bourgeois emmerdeur dont le seul atout est de porter le nom de son immonde père. Vraiment, qu'est-ce qu'attend le rat Dion pour lui montrer la sortie de secours.
Mais au fond, je l'aime bien. Parce qu'il aide plus le Québec en le dénigrant. Il sert bien la cause. Mais quelle cause au juste.

Je retourne maintenant à mes tartes aux pommes.

Cadeau de Noël

La neige, la neige, c'est tout ce dont on entend parler ces jours-ci.

Personnellement, qu'il en tombe 1 cm ou 1 m, je m'en balance. Parce que cette année, j'ai investi dans un contrat d'enlèvement de neige. Un 235$ très bien placé.

Le 4 x 4 à 350$ par mois est peut-être "overaté", mais quand même, il n'y a pas un traître de banc de neige pour m'arrêter.

Et vous, comment se portent vos pelles et tractions avant sur pneu quatre saisons

mardi 18 décembre 2007

De la garderie

La garderie est un milieu très stimulant pour un enfant.

Si vous êtes chanceux, vos enfants apprendront:
  • À crier.
  • À pousser.
  • À se fouiller dans le nez.
  • À manger la récolte.
  • À se mettre en petite boule parterre quand ils sont mécontents.
  • Et qu'à se geler le cul dans une brouette pour une heure pendant que les plus vieux s'amusent n'a pas son pareil.

Donc, qu'on se le dise, les mamans ; au travail, les bébés ; à la garderie et les papas ; au bureau.

lundi 17 décembre 2007

Lendemain de tempête

Le doute que le prochain Noël ne soit pas blanc s'est complètement dissipé ce matin. Bien heureux que la neige soit tombée, on nous cassera pas les oreilles avec le réchauffement de la planète cette année. En tout cas, pas pour expliquer un manque de neige.

Ça faisait une bail que je ne m'étais manifesté sur le blogue. Ça me fait dire qu'on avait peut-être tiré la mèche un peu vite avec le ciel bleu.

Les fêtes s'en viennent et ce ne sera, encore une fois, que salutaire dans mon cas. Les vacances ne pourraient pas être plus que bienvenue. Trop de travail, trop de stress et pas assez de temps pour respirer.

Ce matin, je me suis réveillé avec un camion pas de chaufferette et un Malibu qui vient rien savoir de partir. Je me suis dit que de le brancher pendant une heure lui ferait du bien. Mal m'en pris, pour ajouter l'injure à l'insulte, le capot refuse obstinément de s'ouvrir. Devant moult efforts, ma patience (ou ce qui en restait) s'évapore ...
Ça m'a coûté un marteau. C'est mieux que d'avoir détruit le devant du char. Remarquez, je me suis assuré de le lancer sur mon parterre.

Donc, on se préparer tranquillement pour le tournoi de ballon balai. À ce jour, j'en suis à la préparation mentale. Pour le physique, ça suivra.

Je vous laisse la dessus, ayant pris de mon précieux temps au travail pour en perdre davantage. Il y a des journées où nous devrions être absents.

samedi 13 octobre 2007

Il serait temps d'y penser!

Bon les boys, j'ai un 200$ qui patiente toujours dans mon compte. Contrairement à l'année dernière, où nous avons attendu à la dernière minute pour s'inscrire, pourquoi ne pas le faire immédiatement?

Je parle évidemment du tournoi de ballon-balai des anciens du collège! Je n'ai malheureusement plus les coordonnées des membres de l'équipe de l'an dernier, ni d'André Durand, car tout était sur mon ordinateur de la caisse....

Si un de vous deux (ou si par hazard quelqu'un d'autre lit ce message) a les adresses courriels des membres de l'année dernière, envoyé les moi svp, je vais leur écrire pour voir l'intérêt de participer cette année aussi. Mart, tu t'occupes de Séguin?

Est-ce que Je sera toujours en Afghanistan? Et nous aurons surement droit à la présence d'Alex comme joueur cette année!

Nous devrons aussi s'inscrire dans la catégorie "compétition", alors mettez-vous en forme immédiatement...bon, ça s'applique à tout le monde sauf Seb.

Donnez moi des news!

lundi 1 octobre 2007

liste des choses à faire...

Ma nouvelle de la journée!

Bon je vous mets le lien...il se fait tard et le texte est long à résumer. Très intéressant par contre! et parfait pour une bonne discussion! hehe


http://www.lactualite.com/economie/article.jsp?content=20070920_170058_5844

dimanche 30 septembre 2007

Un an déjà!

Que faisiez-vous le 30 septembre 2006? Apparemment votre vie s'est arrêté ce jour là! Du moins c'est ce que nous suggère le Journal de Québec aujourd'hui. En effet, il était impossible de passer sous silence le triste anniversaire de l'effondrement du viaduc de la Concorde. Mais de là à affirmer que les québécois vivent des moments de terreur chaque fois qu'ils passent sous (ou sur) un viaduc...je me demande quel a été leur groupe de référence.
Dans l'article, un psychologue va même jusqu'à comparer cet événement avec ceux du 11 septembre au chapitre de l'impact psychologique. De tels événements, dit-il, prennent environ 3 mois à s'effacer de nos mémoires...avec le sensationnalisme de nos médias gageons qu'il est facile de s'en souvenir! On dit même que suite à un événement du genre (toujours en comparaison de la situation du 11 septembre, et résultats de recherche à l'appui) la consommation de drogue et l'usage du tabac augmente de façon significative...La consommation de drogue? Comment rescence-t-on la consommation de drogue? Connaissant le "contrôle" que les autorités et les gouvernements ont sur les traficans et les consommateurs, il est difficile de croire à ces statistiques!
Donc selon l'article que j'ai lu, les 5 décès qui ont eu lieu ce 30 septembre 2006 constituent un événement mémorable ayant eu sur la population québécoise des effets psychologiques très négatifs. Suis-je si insensible? Car honnêtement, sans vouloir être méchant, il y a des choses plus effroyables. Et finalement, si cet événement nous a tellement marqué et que nos mémoires en sont imprégnées, comment se fait-il que nous tolérions de tels délais dans les enquêtes et les mesures prise par notre cher gouvernement pour nous "rassurer" et nous "protéger"...Nous savons tous que les Québécois "se souviennent"...les politiciens aussi le savent!

lundi 24 septembre 2007

L'eau menacée

C’est en lisant La Presse de samedi qu’il m’est venu l’idée du concept de « la nouvelle qui a attiré mon attention ». C’est dans ce même journal que j’ai puisé ma nouvelle. La Presse lançait alors son grand dossier sur l’eau qui se veut un portrait de la situation hydrographique du Québec. Je vous offre donc ici un petit résumé du sujet.

Le Québec compte près d’un demi-million de lacs et plus de 4500 rivières. Il peut s’enorgueillir de posséder le 25ième plus grand fleuve du monde et de renfermer 3% des réserves d’eau douce de la planète. Pourtant cette ressource de grande valeur ne semble pas recevoir toute l’attention qu’elle mérite. Pollution, érosion des berges, algues bleues, mercure, espèces envahissantes, espèces menacées… sont autant de problèmes qui menacent nos cours d’eau. Certains parlent même d’un bilan catastrophique. Est-ce encore une façon d’entretenir un climat de peur ou existe-t-il bel et bien des faits alarmants?

Sans vouloir être alarmiste, si les faits présentés dans La Presse sont véridiques, il y a de quoi se poser des questions. Bien que l’état du fleuve Saint-Laurent soit généralement meilleur qu’il y a 50 ans, de nouveaux problèmes pointent à l’horizon. L’eau se remplie peu à peu de nouveaux agents polluants, d’antibiotiques, d’hormones et de médicaments. Or les effets de ces substances sur la vie aquatique et même sur les humains sont encore inconnus. Y a-t-il un lien direct entre la présence d’hormones féminines (rejetées dans l’urine des femmes -à plus forte dose si elles prennent des anovulants- via le système de traitement des eaux usées) et la féminisation de certaines espèces aquatiques? En effet, on a noté la présence d’ovaires dans le sexe de certains poissons mâles près de Longueuil et Repentigny. Par ailleurs, dans certains affluents de la Yamaska, des biologistes ont découvert chez plusieurs spécimens de ouaouarons des testicules complètement vides! Peut-on croire que des problèmes aussi graves n’affecteront que les animaux et pas les humains?

Quant au manque d’oxygène, la situation n’est guère plus réjouissante. Depuis plus de 70 ans, les concentrations d’oxygène ont chuté de près de moitié dans l’estuaire du Saint-Laurent, ce qui cause de grands bouleversements chez les organismes et les poissons vivant dans ces zones. Selon Denis Gilbert, chercheur à l’Institut Maurice Lamontagne, « la situation est déjà dramatique pour certaines espèces ». L’apport massif de nitrates et de matière organique déversée dans le fleuve par l’érosion de ses berges, le lessivage des terres agricoles, les rejets d’eaux usées industrielles et municipales non traitées est l’une des causes principales de cette détérioration de l’écosystème fluvial.

Et il y a bien d’autres problèmes aussi graves que ceux-ci. Pourtant, le gouvernement ne les juge pas assez prioritaires pour prendre des mesures concrètes afin de contrôler ces problèmes. Encore une fois, on attendra que la crise éclate avant de réagir, comme dans l’épisode des algues bleues. En effet, ce problème ne date pas d’hier; la baie de Missisquoi – appendice du Lac Champlain- a connu le problème des cyanobactéries bien avant les années 2000. Alors pourquoi attend-on? Encore une fois il est question d’argent et au gouvernement l’argent est souvent bien plus important que la santé ou la préservation des ressources naturelles. Au cours des prochaines années, l’érosion des berges pourrait coûter des centaines de millions de dollars aux divers paliers de gouvernement. La ville de Montréal, à elle seule, a investit 126 millions en 2006 dans la réfection et l’entretien de son réseau d’eau et attend des subventions qui pourraient atteindre 300 millions. Avec de tels chiffres, on a raison de croire que le Québec a péché par l’abondance. Avec autant d’eau à notre disposition, il ne nous est jamais venu l’idée de croire que l’on pourrait en manquer. Bien entendu, nous n’en manquons pas, mais la qualité de cette eau est en chute libre. Et avec de tels coûts associés à ce problème, il est facile de croire que le gouvernement préfère fermer les yeux en se disant que la situation n’est pas si terrible et que le vrai problème, s’il ne s’efface pas tout seul, ce sera le prochain gouvernement qui aura à le régler alors que nos dirigeants d’aujourd’hui se prélasseront ailleurs sur une plage grâce à leur pension exorbitante qu’ils se seront votés.

samedi 22 septembre 2007

De retour!

Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa...
Je l'avoue j'ai quelque peu délaissé le blog ces derniers temps. Mais voilà, je reprend du service ce soir et je compte faire sentir ma présence régulièrement. Pour se faire j'ai cru qu'il serait bon de se doter d'un thème général....que pensez-vous de :"La manchette qui a attiré mon attention aujourd'hui(ou cette semaine)" On pourrait tous écrire un message de la manchette qui a attiré notre attention...pour une raison ou une autre, que ce soit un fait divers ou une premire page...

Qu'en pensez-vous?

Moi je serais partant pour m'y mettre dès lundi!

dimanche 2 septembre 2007

Ça met bien des choses en perspective ...

Ma belle s'active aux fourneaux. C'est inhabituelle comme situation. Moi je m'emmerde et me promène d'une blog à l'autre. Je suis tombé la dessus. .

Je suis sans mots.

dimanche 19 août 2007

En vacances, avec TOUTE la belle-famille.

Je suis en vacances. Je ne suis jamais en congé au mois d'août. Mais cette année est un peu différente. Ayant toujours deux semaines à prendre de mon congé de paternité, nous avons décidé de joindre les familles Henry et Pickell pour des vacances au bord de la mer. Bien que ça ne semblait pas faire l'affaire du patron, nous avons tout de même décidé de partir.
Nous avons quitté la maison à 20h00 vendredi. Avec une petite Eva fort fatiguée. Nous supposions que bébé allait s'endormir rapidement et que nous aurions parcouru les trois quarts de notre périple avec l'esprit tranquille. Quelle erreur ! Quatre heures de pleurs et de crises plus tard, nous avons finalement trouvé un endroit pour reposer nos oreilles et nos coeurs de parents. Mais au prix de toute une argumentation et de débordements, tant de la mère, tant du père et bien évidemment, du bambin.
Nous sommes repartis à 11h00 le lendemain pour un leg beaucoup plus tranquille. Arrivé à la maison Seacroft, nous avons réquisitionné une chambre. Pas la plus belle, parce que ça aurait été égoïste de notre part envers l'oncle organisateur, mais quand même une des plus grandes. Au diable les parents et grand-parents, je n'étais pas pour piaulé une semaine dans un lit simple et le bébé avec nous. Évidemment, les soeurs de la chérie ont soulevés quelques commentaires mais disons que le bébé demeure un argument de taille. Faudra en faire un autre quand les privilèges s'épuiseront. Petite soirée tranquille, à manger du porc saignant, des patates trop cuites et un vin moyen. Mais tout le monde était de très bonne humeurs et le repas fut vite oublié, les coupes de vin et les Coronas s'enfilant à bon rythme. Il s'agissait d'une très mauvaise préparation pour la nuit à venir. En guise de revanche pour leurs chambres de qualité moindres, les belles-soeurs se sont assurés de réveiller toute la maisonnée à deux heures ce matin. Bébé ne voulait pas retrouver le sommeil qu'à trois heure trente, ce qui ne fut pas sans me mettre l'esprit malin. Je me promets un retour d'ascenseur assez brutale. Ça va être sournois et chien. Du Bisson à son meilleur. Dans le genre, tu me donnes un coup de poing et je te pile dessus avec mon char.
Au programme aujourd'hui: visite des lieux et préparation de coup fumant. Des idées à me suggérer.

mardi 14 août 2007

On en apprend vraiment tous les jours...

Je n'en reviens pas....je n'en reviens tout simplement pas!

Imaginez vous donc que mon père a reçu une contravention par la poste vendredi dernier. D'un montant de 280$, elle lui a été envoyé par un inspecteur de je ne me souviens plus exactement où. La raison: Travail illégal! À première vue, je me suis moqué de lui, car actuellement sur le chômage, il s'adonne à quelques travaux bien rémunérateur au noir. Je me sui donc dit qu'il s'était fait prendre...tant pis pour lui! MAIS NON!!! Il ne s'agit pas de ça! Son travail consistait à peindre les murs d'un local commercial en rénovations dans la batisse d'un ami. Qui dit rénovations majeures d'une batisse commerciale, dit aussi permis de la ville. Mon père a donc reçu sa contravention car il n'avait pas ses cartes de compétences!!!! Et bien oui!

Non mais franchement...c'est quoi cette loi à la con qui empêche un propriétaire d'engager qui il veut pour faire des rénovations!!! Ou même de la construction! C'est chez lui merde! S'il engage quelqu'un, c'est à ces risque et péril! that's it! Pourquoi est il obligé d'engager un contracteur pour faires des rénovations lorsqu'un permis de la ville a été émis? La société ne sera pas à risque, mais son investissement à lui seulement!

Mais dans le fonds, est-ce que cette loi a été passée pour s'assurer de la qualité des constructions et rénovations sur le territoire québécois? ou bien était-ce des pressions (syndicales?) pour s'assurer d'une garantie d'emplois et de salaires au groupe qui possède les fameuses cartes de compétences?

Vous le savez, je suis pour la libre entreprise, et surtout pour la liberté de propriété. Ce qui est à moi est à moi et je veux avoir le droit de faire ce que je veux avec? Ça m'a tout l'air que dans notre belle société, quelqu'un a un jour décidé que non.

En manque d'inspiration.

Salut les mecs,

Étant en manque d'inspiration totale depuis un bon moment, je vous propose ce clip de Jean-François Mercier. Je découvre cet humoriste avec lequel je pourrais bien m'entendre par moment.
Voici un vidéo qui résume ma pensée.

Enjoy !!! et ouvrez-vous l'esprit.

mercredi 1 août 2007

Il est vivant!

Salut les mecs!

Et bien oui, j'étais bien chez Seb, du moins de corp! hehe et d'esprit aussi! Ben je sais, j'ai été absent..j'ai juste pas pris le temps....l'été p-e? Maudit qu'il fait beau!

Alors que se passe-t-il de bon dans votre vie? Ici tout va pour le mieux! Julien est en pleine forme et la maman aussi! Son retour au travail approche beaucoup trop vite! De mon côté, le ouveau travail va pour le mieux! Je prends les reines définitivement le 1er septembre, mais je fais quand meme tout le travail depuis 3 mois. Disons que Diane est en très bonne pré-retraite! hehe

Un conseil les mecs, avec cette nouvelle job, je rencontre beaucoup plus de gens qui ont des problèmes financiers...faites attention a vous! ;-) Ce qui m'amene au sujet intéressant de la semaine! LA FAILLITE!

C'est beaucoup trop facile de faire faillite maintenant...et ca n'a presque plus de conséquences non plus. Mon dernier client (parce que ca fait 4 faillites que je gère depuis 3 mois) a fait une faillite de jeu de 50 000$. Il a hypothéqué sa maison au maximum l'an dernier pour payer ses dettes de jeu, et il en a 50 000$ de plus maintenant. Résultat, il va garder sa voiture et sa maison...mais va être libéré des cartes de crédit!...c'est quoi ca merde! Si tu fait faillite, tu fais faillite...pas compliqué me semble...il va être libéré dans 6 mois, et va être en mesure d'emprunter a nouveau...certes a taux plus élevé, mais il va tout de meme reprendre sa vie normale!!! Ça donne le gout de partir sur un méchant party, de toute facon, je vais garder ma maison et ma Mazda...la géo, je vais leur laisser!

Mais bon, j'ai beau me moquer un peu de la failite, mais de voir un homme de 58 ans sans fonds de pension, de REERs, ou de quelquonque épargne se mettre a pleurer comme Julien dans mon bureau....ca fesse....

Anyway, voici mon retour. Je vais avoir une autre semaine de vacances le 20 août, fort probable que j'irai faire un tour dans le coin de Montréal...Julien s'ennuie de sa promise! ;-)

A la prochaine les mecs!

mardi 10 juillet 2007

Avis de recherche

à tous,

Nous recherchons Fred. Si vous le trouvez, postez le.

vendredi 6 juillet 2007

Calme et tranquilité....




Pour plusieurs le terme plein-air rime avec moustiques, inconfort et désagréments. Cependant, pour un amant de la nature comme moi, il n'y a rien de tel que quelques jours perdu en forêt pour décompresser et refaire le plein d'énergie. C'est pour cette raison que Tania et moi avons décidés de profiter de nos quelques jours de congés communs pour s'évader dans le parc national des Hautes-Gorges de Charlevoix.

Accessible seulement en canot ou a pied, le site que nous avons choisi nous garantissait 4 jours de paix et de tranquilité loin de toute source de stress. Respirer le grand air des montagnes m'a fait le plus grand bien et malgré la pluie un peu trop présente et les efforts nécessaires (16 km de canot) pour s'adonner à ce petit plaisir qu'est le camping rustique, je suis plus que satisfait de ma semaine de vacance.

Les paysages à couper le souffle, la présence des animaux sauvages à proximité, le contact avec la nature sont autant d'éléments qui ont agi sur mon moral et mon esprit d'une façon si bienfaisante que je songe sérieusement à répéter l'expérience aussi souvent que possible. Il n'y a vraiment rien de tel que de s'endormir à la lueur tremblottante d'un feu de camp dans une vallée bordée de sommets impressionnants qui semblent veiller sur vous tels de majestueux gardiens, témoins du passé d'une région si merveilleuse.

C'est bien entendu de retour en ville que je comprend pourquoi ces petits moments me sont si chers...

vendredi 29 juin 2007

Histoire idiote ou histoire de l'idiote

Je viens de lire l'histoire idiote d'une idiote qui s'est fait passer un sapin par un idiot plus intelligent qu'elle. C'est en une de La presse de vendredi (29 juin).
La pauvre femme, travailleuse dans un magasin s'est d'abord fait vendre un faux téléphone cellulaire Nokia par un vendeur itinérant. Elle rappelle le mec. Ils se rencontrent à nouveau. Se disant incapable de la rembourser, il lui offre un Iphone pour 150$ de plus. Elle a déjà payé 595$ pour le faux. Elle rajoute 150$. Mais qui est assez fou pour se payer un téléphone de 750.00$ quand elle travaille dans un asti de magasin à 1$.
Et bien, si elle assez folle pour se faire fourrer de même, et bien tant pis !
Ça se peut pas ... Sur le front ! On se serait cru chez Québécor.

Bonne fin de semaine, auditoire grandissant ....

samedi 23 juin 2007

Péquistes tata.

Je pense pouvoir dire sans me tromper que les Forces ne m'ont pas traité justement en 2000. Bien que nous ayons été artisan de notre malheur, je pense que vu les efforts et le temps que nous avions investi, la façon dont notre dossier a été traité aurait pu être mieux géré. Conséquemment, ce que je pense de des forces est immmanquablement teinté de cette amertume. Ceci étant dit, je trouve INNACEPTABLE le comportement des députés péquistes qui ont refusé de se lever pendant la parade en l'honneur du contingent qui quitte pour l'Afghanistan. Il s'agit d'un manque de jugement, et pire encore, un manque de respect total à l'égard de ces jeunes qui quittent faire le sale boulot.

Je n'ai aucun respect pour vous, députains péquistes. Aucun. Je me jure d'annuler mon vote tant que des excuses de votre part n'auront pas été émise publiquement.
Je suis outréé, rien de moins.

lundi 18 juin 2007

Fêtes des Pères

Je suis certain que c'est moi qui ait eu le plus beau cadeau de la fête des Pères. Outre une tondeuse de ma chère épouse, que j'ai moi-même magasiné, payé et que je suis allé chercher, ma Eva m'a fait le plus beau cadeau qui soit. Elle a dit PAPA. Vous me direz que j'ai rêvé, que j'ai la berlue, mais non. Dès ce soir, je place une vidéo sur youtube qui prouvera mes dires.

Sur ce, bonne journée.

PS. Quelqu'un a vu la section forum de La Presse ce dimanche. Un article qui portait sur Chavez et la fermeture d'une station télé. Par nul autre que M. Alex Boissonneault. Félicitations à lui, s'il nous lit.

Mise à jour, le vidée devrait être ici:

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mercredi 13 juin 2007

Plaisir d'été

Je redécouvre l'été. J'arrive au bureau le matin, et je travailles avec un seul but, revenir jouer dehors. Un peu comme quand on était enfant. Je passe mes samedis et dimanche entier à l'extérieur. C'est différent de l'été 2005, qui fut principalement consacré au mariage. L'année 2006 ne fut guère plus reposant avec la maison. J'occupe donc mes soirées et mes fins de semaine à une activité très glamour: le jardinage. Je râte, je bine, je sarcle, la plupart du temps un peu à l'improviste. Mais je m'en fous, ça me relaxe.

Et puis, je profite de mon patio. Et j'ai bien envie d'organiser un party cet été. Genre, avec les nouveaux amis de Facebook. Qui est partant ?

dimanche 10 juin 2007

Nous avons un lecteur anonyme de prestige!

Salut les mecs, je suis tombé sur cette article aujourd'hui qui parle de la disparité de rendement entre les générations pour la RRQ. Il m'a tout l'air que le ministre des finances fédéral vient faire un tour sur notre blogue!

Ce que j'ai préféré de l'article, c'est quand les provinces ont refusé l'argent du fédéral pour diminuer le passif des régimes de pension....j'imagine que puisque l'argent de pouvait etre dépensée a leur guise, bref aucun controle, bref, aucune possibilité d'acheter des votes..., les provinces ont refusées... encore une fois, on se fait fourrer s'tie!


Flaherty veut régler les disparités générationnelles du régime de pensions
2007-06-08 22:12:00
OTTAWA (PC) - Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a indiqué vendredi que son ministère mènerait des consultations publiques à l'automne afin de trouver un moyen de réduire les disparités dans le rendement du Régime de pensions du Canada entre les générations.
Le ministre a expliqué qu'en raison de ce passif, les jeunes travailleurs paient beaucoup plus que ce qu'auront payé les plus âgés pour leurs allocations de retraite.
En fait tous les travailleurs paient 4,95 pour cent de leur salaire au régime chaque année jusqu'à un plafond fixé par la loi. L'employeur fournit la même somme pour une contribution totale de 9,9 pour cent.
S'il n'y avait pas eu de dettes accumulées, la contribution totale n'aurait besoin d'être que de 5,5 pour cent, soit une économie de 40 pour cent pour les travailleurs et les employeurs.
Ainsi, selon les calculs du ministère des Finances, quelqu'un né en 1990 aura au moment de sa retraite un retour sur son investissement dans le régime de retraite de 2,1 pour cent, alors que quelqu'un né en 1940 touchera 6,2 pour cent.
Dans son premier budget en 2006, le ministre Flaherty avait inclus un plan d'investissement d'une partie des surplus fédéraux dans le Régime de pension du Canada et son équivalent québécois, afin d'éliminer l'important passif des régimes.
La proposition devait aussi aider à réduire le déséquilibre fiscal parce que les régimes sont gérés conjointement par le fédéral et les provinces.
Toutefois, le plan a été rejeté par les provinces l'an dernier lors d'une réunion à Niagara-on-the-Lake. Un groupe de réflexion, l'institut C. D. Howe, avait aussi mis en garde contre un tel projet, plaidant que le gouvernement fédéral pourrait être tenté de piger dans la caisse du régime s'il y contribuait directement.
M. Flaherty a déclaré vendredi que les inégalités entre les générations demeuraient toutefois et qu'il fallait trouver une solution.
Le ministre a précisé que certaines options étudiées à l'automne comporteront des mesures qu'Ottawa pourra appliquer unilatéralement.
La réforme proposée dans le dernier budget devait être approuvée par les deux tiers des provinces qui représentent les deux tiers de la population.

jeudi 31 mai 2007

Absurdité d'une société dites sécuritaire!

Nous vivons dans une société de consommation, ça personne ne le démentira. Et nous faisons aveuglément confiance à toutes ces compagnies qui mettent en marché différents produits. On nous dit que tout ce qui est sur les tablettes est sécuritaire, a été testé et donc, que nous pouvons consommer abondemment sans avoir peur de quoi que ce soit.

Il y a quelques semaines, plusieurs dizaines, voir centaines, d'animaux de compagnie ont péri faute de nourriture empoisonnée. Une substance semblable au poison à rat avait été retrouvée dans certains (plusieurs) contenants de nourriture pour chiens et chats. Les médias ont vite fait de rapporter la nouvelle, et le rappel du produit a été annoncé. Hier encore, au bulletin de nouvelle, on rapportait un cas semblable mais avec de la solution pour verres de contact. On nous dit que le produit est contaminé et qu'il faut rapidement se débarasser de nos lentilles, nos étuis et jeter cette solution, mais de ne pas trop s'inquiéter malgré les conséquences très graves (perte de vision possible).

Où je veux en venir avec tout ça? C'est bien simple....

Tania et moi utilisons cette dites solution. Nous avons donc racheté une nouvelle bouteille (d'une autre compagnie) et de nouveaux contenants. Or j'en étais à ma dernière paire de lentilles de contact, alors je dois aller m'en racheter d'autres. Je me présente donc au magasin avec mon ancienne boîte de lentille de contact qui contient toutes les informations nécessaires pour qu'on me vende de nouvelles lentilles. Mais voilà qu'ils ne peuvent m'en vendre sans me faire passer un examen, c'est ainsi, c'est une mesure de sécurité. Pour ce qui est de la sécurité on repassera! Non mais, il faut vraiment que tout le monde contrôle tout à notre place. J'ai besoin de lentille aujourd'hui parce que Santé Canada a laissé un produit contaminé entrer sur les tablettes des pharmacies. Toutefois, le meilleur moyen de sécurité selon eux est de ne pas me vendre de lentille, à moi, qui sait que j'en ai besoin et qui sait que ma vue n'a pas baissée. Alors je vais faire quoi? Je dois travailler en fin de semaine, le prochain rendez-vous pour un examen est lundi. Je vais prendre le risque que mes verres de contact ne soient pas contaminés et je vais les porter quand même jusqu'à lundi au risque de contracter une infection grave de l'oeil? Tout ça car on croit réellement que tout ce que l'on fait doit au préalable nous avoir été dicté par quelqu'un qui ne sait même pas qu'on existe. On nous prend vraiment pour des ignorants (pour ne pas dire caves) et je commence réellement à trouver cela agaçant. On ne pense plus, on ne prends plus de décisions, c'ets le gouvernement qui fait tout à notre place et voyez où ça nous mène.

Renaud avait raison de chanter: " Société, tu m'auras pas...".

lundi 28 mai 2007

Gagnant ou perdant...là n'est pas la question.

Certaines blessures ne cicatrisent pas. Certaines souffrances ne s'appaisent jamais complètement. Elles sont bien présentes dans le seul but de nous rappeler chaque jour ce que jadis nous avons fait, ce que jadis nous étions. Nous rappeler un passé que nous tentons tous à un certain moment de notre vie de fuir, d'oublier.

Pourtant, il n'y a que ça de vrai le passé. Le futur n,existe pas encore, le présent quant à lui, dès qu'on prononce le mot fait déjà partie du passé.

Je m'amuse aujourd'hui à transposer ces idées sur cet écran d'ordinateur en sachant pertinemment que j'ai ressassé ces mêmes idées encore et encore dans ma tête, tentant sans doute de les agencer dans un ordre qui me conviendrait à moi, à mon orgueil, à ma fierté... Pourtant, chaque jour qui défile devant moi, chaque jour qui s'ajoute au passé me rappelle trop fidèlement ce qui est réellement arrivé il y a de ça déjà plusieurs années. Un souvenir que je souhaiterait plus confus, plus vague me hante encore et toujours.

Or, c'est ce même souvenir qui me fait souvent prendre conscience de qui je suis vraiment, de qui je me doit d'être. Au fond de moi-même je ne veux pas l'oublier. Je ne veux pas oublier ce qui s'est passé, je ne veux pas oublier qui sont mes vrais amis, qui sont ceux qui ont prétendu l'être et surtout, je ne veux pas oublier ce que je suis devenu.

Certes, cette belle naïveté face à l'amitié ne fait plus partie de moi. Cette confiance aveugle que je portais à certains et qui me rendait si sûr de moi s'est doucement estompée au même rythme que les années qui, sournoisement, semblent vouloir nous éloigner les uns des autres. Toutefois, ce que j'ai perdu je l'ai remplacé. L'homme que j'étais se souciait peu du futur et n'était donc pas armé en conséquence. Cette épreuve m'a donc permis de madapter et ainsi, tel un cavalier troquant son fidèle destrier pour une monture mieux adaptée aux longs périples, j'ai peut-être inconsiemment, choisi moi aussi de troquer un poulain fonceur et trop confiant pour un cheval plus prudent et empreint d'un peu plus de sagesse.

Que je ne sois plus le même, j'en suis pleinement conscient. Je ne le regrette pas non plus. je ne me pose plus la question à savoir où j'en serais aujourd'hui si...Je vis simplement ma vie comme je le peux en essayant de profiter pleinement de chaque moment heureux qu'il m'est permis de goûter. C'est là tout ce qui est réellement en mon pouvoir en cette drôle de vie que je ne contrôle pas.

Quant à ceux et celles qui ont un jour occupés une place privilégiée dans mon coeur et dans ma vie, ceux et celles que j'ai si souvent essayé d'oublier en vain, je crois que je leur ai pardonné, sans pour autant oublier la peine qu'ils m'ont causée. je ne crois pas que je pourrais les ignorer, comme je me suis si souvent imaginé le faire, mais le terme "connaissance" leur est maintenant plus approprié qu'"ami". J'irais même jusqu'à dire qu'il me ferait plaisir de revoir ces personnesqui, un jour, ont décidé de nous ignorer, de nous rayer de leur vie qui leur paraissait sans doute plus estimable ou plus importante que la nôtre. Voir où ils en sont eux qui sont restés sur le "droit chemin". Croyez-vous qu'ils nous reconnaîtraient? Oseraient-ils prétendre que nous avons imaginé tout ça? Feraient-ils comme si de rien n'était?

En lisant ces lignes vous vous dites peut-être que j,entretiens encore une certaine rancune, voir même un léger mépris envers eux...peut-être en effet. Mais je me contante plutôt de partager avec vous ce que j'ai souvent songé et imaginé face à l,idée de revoir ces gens. Toutefois, continuer de jouer ce petit jeuserait, à mon sens, leur accorder trop d'importance, mais ne vous attendez pas non plus à de grandes démonstrations de joie de ma part lors d'éventuelles retrouvailles.

Nos chemins se sont un jour croisés pour se séparer à nouveau. Ce que chacun de nous en a tiré diffère beaucoup d'une personne à l'autre et cela nous appartient. que les événements vécus aient fait pencher la balance du côté des joies ou des peines est bien peu important. Ce qui compte réellement en bout de ligne, c'est ce que nous avons su en tirer et comment nous l'utilisons dans nos vies.

dimanche 27 mai 2007

Nostalgie du passé

Le message est arrivé anodinement dans ma boîte de réception. En ouvrant le courriel, la première phrase qui y était inscrite: "Stephanie Vezina added you as a friend on Facebook...".
Il y avait si longtemps que ce nom n'avait pas refait surface dans ma mémoire, qu'il m'a fallu penser quelques instants. Et puis, ça m'est revenu. La vie d'avant. Celle qui différenciait les civils et les militaires. Celle-là même qui n'a pas voulu de nos services. J'ai accepté l'invitation. Plus par curiosité qu'autre chose. Puis, des nouvelles de Isabelle Tremblay. Puis de Virginie Lepage. Jusque là, je me dis pourquoi pas. Puis arrive l'invitation : "François Gagnon added you as a friend on Facebook...". Puis Marie-Christine Harvey. Je dois avouer que je me suis demandé quoi faire. Je suppose que l'amitié sur Facebook est quelque chose de relative. Certains ont jusqu'à 200 amis. C'est beaucoup 200 amis.
N'empêche que ça m'a fait réfléchir. Je regardais les photos des autres et je me demandais quelles seraient les miennes si nous étions restés au Collège. Probablement serions-nous allé au mariage de Stéphanie ou de Marie-Christine? Forte chance que nous ne serions pas allé à nos propres mariages.
Je réalise que la vie que je mène aujourd'hui me satisfait. Par contre, la camaraderie d'antan, me manque. Le milieu dans lequel je travaille est compétitif. Mon poste l'est tout autant. Et les gens avec qui je travaille pourraient, pour la plupart être mes parents. Donc, le réseau d'amis, avec les années, est plus difficile à agrandir. La distance, autrefois peu importante, amène de nouveaux défis. Comment allé souper en ville et revenir pour l'heure de coucher de la petite?
Est-ce que le voyage en gars que j'ai toujours voulu faire est un rêve que seule la crise de la quarantaine me permettra de réaliser?
Tant de questions.
Et vous, Facebook, ça vous dit quoi?

vendredi 25 mai 2007

Une institution qui doit tomber.....ou changer

Les travailleurs ont voté ca pour les travailleurs à ce qu'il parait. Le "Baby-boomers" commençaient à peine à arriver sur le marché du travail, alors pour une fois, ce ne sera pas trop de leur faute. Ils voulaient assurer l'avenir et la retraite de tous les travailleurs du Québec, parce qu'il y en a qui ne sont pas trop prévoyant, et qu'a cause d'eux, il faut dire quoi faire a tout le monde! Et puis disons la vrai vérité, les 40 ans et plus de ce temps ont voulu se payer du bon temps quoi, sans trop avoir travaillé pour! C'était en 1966 et je parle ici du Régime des Rentes du Québec (RRQ).

Peut être que vous ne savez pas que vous vous faites avoir chers lecteurs, mais je m'engage ici même à vous le démontrer. Commençons d'abord par expliquer le fonctionnement de base du fonds de pension, celui a prestation déterminé. J'émets ici comme hypothèse un travailleur qui fait l'équivalent du MGA (maximum des gains admissible) qui correspond au maximum de cotisation à la RRQ. Comme son nom le mentionne, vous cotisez au fonds de pension un montant fixe (en pourcentage) de votre salaire, et le régime s'engage à vous verser 2% (la majorité des fonds de pension) de votre salaire par année de service en pension de retraite. Cependant, tous les fonds de pension sont coordonné avec la RRQ pour qu'a 65 ans, votre fonds diminue du montant que la Régie va vous verser. Ce qui veut dire que le 2% par année de service = fonds de l'employeur + RRQ. Si nous les divisons plus en détail, le 2% est égale a 1,3% fourni par votre régime privé et 0,7% par la Régie des rentes. Voila la première partie du problème....Vous cotisez pour 4,95% de votre salaire a la RRQ, tout comme votre employeur. Je prends exemple le fonds de la Banque, je ne cotise que 3,4% de mon salaire et mon employeur comble le reste...et j'en retire le double de la RRQ. Soit qu'il y en a qui ne savent pas compter, ou je paye pour les retraités, qui eux, rappelons-le, n'ont pas payé grand chose de leur RRQ.

Vous me direz; "Ouais, mais ca se peut que ton employeur cotise pour plus que ton pourcentage a ton fonds de pension". Peut être, alors allons y avec quelques calculs. Les chiffres ne mentent jamais! Hypothèse: Travailleur commence a 25 ans, et prends sa retraite a 60 ans, mais ne demande sa Régie des rentes qu'a 65 ans. Il va ensuite mourir a 90 ans. Pour le rendement de la rente, j'utilise 6%. Le MGA pour 2007 est de 43700$ et il y a une exemption sur les premier 2500$ gagnés, ce qui veut dire que quelqu'un qui gagne ce salaire payera en cotisations 43700 - 3500 x 4,95% = 1989,90$. Multiplions ce chiffre par 2 puisque votre employeur en cotise autant, ce qui donne 3979,80$. La rente maximale en 2007 pour quelqu'un de 65 ans est de 863,75$ par mois. Avec une inflation projetée de 2%, cette rente vaudra dans 40 ans (65 -25 ans) 1907,20$ mensuellement. Donc la question est: Combien de rendement obtenons-nous en cotisant 3979,80$ par année (que j'indexe à l'inflation) pour obtenir une rente future de 1907,20$ (aussi indexée) pendant 25 ans?

Aussi peu que 3,89%. Vous avez bien lu....un ostie de 3,89%. Si je prolonge la rente jusqu'a 95 ans, j'obtiens un rendement de 4,23%...ce qui n'est guère plus alléchant! N'oublions surtout pas que l'espérance de vie n'est guère plus grande que 82 ans. J'espère que vous vous rendez compte que dans les 50 dernières années, le rendement annuel moyen du CPG GARANTIE 5 ans a été de 7,3%. Faut tu ne pas être dans la lune à la Caisse de dépôt pour ne pas être en mesure de gérer mieux que des placements garantis???

Mais en réalité, la vrai réponse, c'est que nous sommes obligés de payer pour la rente que les vieux d'aujourd'hui ont décidé de se payer dans le temps. C'est l'an passé (en 2006) que les travailleurs qui ont cotisé toute leur vie ont commencé à toucher leur rente de la RRQ...la méritent-ils? Pas plus, parce qu'ile ne l'ont pas payé cher leur rente...la cotisation avant 2003 n'était pas a 4,95%. Loin de la!

Et a tous les actuaires qui se risqueraient de lire ce texte, je sais que tout n'est pas mathématiquement pris en compte...que je n'ai pas répartis les cotisations par période de paye et blablabla...l'idée générale est quand même la.

Détruisons ce régime au plus vite et redémarrons le sous des bases nouvelles. Que les rentes soient basées sur nos cotisations réelles et non pas des années de gratuités comme ont bénéficié les vieux. Mais encore mieux, ne le redémarrons pas, et laissons le travailleur faire ce qu'il veut avec son argent! Fermons tout, donnons a tout le monde la valeur actuelle de leur rente, et laissez nous tranquille....

samedi 19 mai 2007

Ne vous en faites pas...

Je suis encore en vie...mais pas fort!

Disons que ca feel pas trop bien depuis la semaine derniere...je me tape un méchant mal de tete depuis jeudi dernier. Comme je ne suis pas du genre a aller chez le médecin pour rien (dans le genre des gars qui perdent connaissance lors d'une prise de sang!), j'ai attendu une semaine. J'y suis donc allé hier, et le doc pense que ca peut etre un virus...surtout que les nausés sont présentes aussi. La théorie d'effets secondaires d'un médicament que je prends est aussi possible..nous avons donc coupé la dose de moitié.

Résultat, retourne chez toi Fred...et si jamais j'ai encore mal a la tete la semaine prochaine (chose qui est déja mieux je vous dirais), et bien j'ai un papier pour prendre RV pour un scan du cerveau. Espérons ne pas avoir a se rendre la.

Donc pour l'instant, je prends ca relax...j'ai un peu de fievre, mais question de ne pas vous inquiéter pour rien par rapport a mon absence du blogue, je vais bien!

Sur ce messieurs, bonne soirée!

Et oui Mart, je te tiens au courant pour mes plans de réno...ca risque d'etre différent des plans initiaux par contre!

En passant, c'est ou que je vais pour mettre ce message dans "tranche de vie"? J'imagine que j'ai cherché pour rien et que c'est a la prochaine fenetre! hehe

Reflet de la société Kurde

Voici quelques proverbes Kurdes. Que peut-on penser d'une société qui prêche de la sorte:

«Il vaut mieux être mâle un seul jour que femelle dix jours de suite. »

« Venge-toi sans retard : Ne laisse pas le crime impuni. »

« Ne t’inquiète pas de la femme que tu vas prendre, mais connais bien sa famille. »

« La racine peut devenir palme. Notre ennemi ne sera jamais notre ami. »

« Soyez braves : on ne meurt qu’une seule fois. »

mardi 15 mai 2007

Courte nuit

16h15: J’arrive à la caserne. Nos collègues de la journée nous font leur rapport; « rien de spécial à part qu’on a changé la lance perfo de place sur le camion » « Parfait, merci, bonne soirée! »

16h30 : Les cinq membres du peloton 1 sont en poste et prêt à intervenir!


Avant de souper, mes confrères décident de passer par le gym. Je me joins volontiers à eux et ce n’est que vers 17h30 que nous sommes prêts pour le souper. Au menu ce soir : « pizzburger », un hamburger garni de pepperonni, fromage et sauce à pizza…pas mauvais du tout.

Au programme de la soirée, nous avons une petite formation avec la capitaine. Les sujets: techniques de combat, ventilation et comportement du feu. Il s’agit surtout de révision mais ça fait toujours du bien de se rafraîchir la mémoire. Cette formation sera brièvement interrompue par une première alarme qui, finalement, ne nécessitera pas nos services. Nous rebroussons donc chemin pour retourner à notre formation qui tire d’ailleurs à sa fin.

Nous devrons attendre autour de 22h30 avant d’avoir un autre appel. Cette fois-ci pour un feu de broussaille dans un cap pas très loin du pont Pierre-Laporte. Le relief accidenté nous donne beaucoup de fil a retordre et nous devons recourir au camion-citerne pour nous alimenter en eau. L’accès aux différents foyers d’incendie étant très limitée, nous devons user d’imagination pour effectuer l’extinction et ce n’est qu’après plusieurs heures que nous rentrons à la caserne.

Le temps de tout nettoyer et il est maintenant près de 02h30 du matin. Moi ça ne me dérange pas trop car cette nuit c’est moi qui suis de garde alors je me moque un peu de mes confrères qui estiment leur heure de coucher un peu tardive. Nous aurons tout de même un restant de nuit assez tranquille et je réussirai tout de même à emmagasiner quelques heures de sommeil, malgré la radio qui me fait sursauter à quelques reprises.

06h15 : Nos confrères de jour prennent la relève. « On a eu une intervention avec le citerne…a part ça rien de nouveau….la batterie de ton radio est changée. » « Ok, merci, bonne journée et à ce soir. »

06h36 : Je suis de retour dans mon lit auprès de ma douce Tania…j’ai quelques heures de repos à reprendre!

lundi 14 mai 2007

De retour au boulot!

Quelle fierté de se sentir à nouveau utile à la société…Peut-être me direz-vous que j’exagère quelque peu, mais je peux vous garantir que Félix Leclerc avait raison en disant que « …la meilleure façon de tuer un homme est de le payer à ne rien faire… ». Deux mois sur le chômage et je n’en pouvais déjà plus.

Voici donc un petit résumé de ma première journée de dur labeur en tant que pompier de la caserne 10.

Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour me rappeler de la merveilleuse gestion qui existe au sein du service incendie. Mon arrivée en caserne suscita déjà des controverses à savoir qui avait priorité entre moi et un autre temporaire déjà en poste en ce qui concerne les déplacements. En effet, bien qu’il était déjà en caserne avant dimanche, son rang sur la liste est bien plus bas que le miens (34 vs 2). Ce qui normalement devrait me prioriser en matière de « corvée ». (Une corvée étant le terme employé pour désigner qui doit se déplacer de caserne pour aller remplacer ailleurs.) Suite à une petite argumentation amicale, j’ai gagné mon point et c’est donc moi qui resterai à la caserne 10 et l’autre qui devra se déplacer. La journée s’annonçait maintenant très agréable!

Il ne me restait plus qu’à faire connaissance avec les autres membres de mon équipe. Disons que nous avons eu amplement de temps pour le faire. Je me réjouis encore une fois de tomber sur une équipe composée de membres aussi sympathiques et dont la moyenne d’âge est, sommes toutes, assez basse. Je crois que ça s’annonce très bien pour cet été.

Les dimanches sont toujours assez tranquilles. Ce qui nous laisse un peu de temps pour se reposer car, avouons-le, la charge de travail est parfois étouffante….hahahah…quel beau métier! Donc aucun appel de l’avant-midi. On en profite pour aller faire une petite épicerie. Ce sera du poulet pour dîner. On rigole un peu, on mange, on fait la vaisselle et l’attente recommence…Un ou deux films dans l’après-midi…la cloche refuse toujours de sonner…Ce sera des moules et des crevettes pour souper…miammm! On fait la vaisselle, on digère un peu, je me prépare pour aller m’entraîner (nous avons un très beau gym, je vais en profiter!)…Biiiip…Biiiipp…Enfin un appel pour la caserne 10.

L’action commence finalement. Je ne me réjouis que quelques secondes car en écoutant les détails de l’appel nous prévoyons que nous n’aurons pas grand-chose à faire; ce n’est qu’un petit feu d’herbe presqu’éteint à notre arrivée. Nous finalisons l’extinction puis nous retournons penaud à la caserne en se disant que la nuit est encore jeune. Je termine mon entraînement juste à temps pour constater que nos services sont de nouveau requis. Cette fois-ci, on se plaint qu’un voisin fait un feu de camp à proximité d’une bombonne de propane! Une fois sur les lieux on constate qu’il ne s’agit en fait que d’une querelle de voisin et nous demandons gentiment aux jeunes rassemblés autour du feu de laisser se dernier s’éteindre et de se procurer à l’avenir un foyer conforme au règlement municipal. À peine de retour dans le camion, on nous demande une fois de plus pour une vérification en matières dangereuses… « Enfin quelque chose de sérieux » me dis-je. Nous préparons donc les détecteurs de gaz tout en enfilant nos appareils respiratoires avec toute la grâce que nous permet le « doux dandinement » du camion (merci à nos fabuleuses conditions de la chaussée). Une fois sur les lieux, nous ne pouvons que constater que l’odeur d’un site d’enfouissement peut facilement être interprétée comme celle d’une fuite de propane! Puisqu’aucune lecture ne s’affiche à nos détecteurs, nous remballons l’équipement et faisons ce qui s’avérera le dernier déplacement de la journée…retour à la caserne 10.
Petite douche, relaxe un peu dans le salon, et il est l’heure du coucher. Bonne nuit tout le monde…en espérant qu’on aura un appel durant la nuit…

La nuit se voudra finalement très tranquille et ce n’est que ce matin à 06h00 que je sortirai de mon lit. C’est à 06h15 que nos collègues prendront la relève et je suis bien content de revoir certains visages familiers avec lesquels j’ai travaillé cet hiver. Les salutations d’usages terminées, on se dit au revoir et à ce soir…Je file vers l’appart où je retrouve ma douce moitié encore endormie que je m’empresse de réveiller doucement pour lui conter mon premier 24H de la saison!

samedi 12 mai 2007

Faudrait s'y mettre

Je suppose que c'était prévisible avec la venue du beau temps. Bien entendue, je vous parle de ce relâchement au niveau du blogue. Et pourtant, ce ne sont pas les sujets qui manquent. De mon côté du moins.

Tout d'abord, au chapitre des nouvelles tristes, le décès du père d'un ami. En effet, le père d'Éric, notre gardien au ballon-balai, est décédé d'un cancer du poumon. Au terme d'une longue bataille, il s'est éteint à sa résidence entouré de sa famille et d'une équipe médicale. Je me suis présenté au salon funéraire, plus pour supporter un ami que je respecte grandement. Je dois admettre que la situation était fort triste. Cette famille était soudé et proche comme on en voit rarement. Et puis, perdre son père à 55 ans, c'est encore plus triste parce qu'il leur restait tellement de choses à vivre comme famille et ils n'auront jamais cette chance.

Au travail, ça se porte bien. Je serai en vacances du 21 au 25 mai, gracieuseté de l'assurance parentale. L'entente contractuelle entre le patron et moi est arrivé à échéance le 1er mai dernier. Les négociations précédentes ayant été assez difficiles et intenses pour les deux partis, elles furent beaucoup plus facile cette année. Résultat: augmentation salariale du double de l'inflation et octroi d'un boni qui permettra de payer tout le terrassement extérieur. Compte-tenu de la quantité de travail qu'il reste à faire, c'est peu dire.

La famille se porte bien. Bébé a commencé la garderie, épisode qui fut assez difficile pour les parents. Pour la maman particulièrement. La petite s'accommode très bien. Elle s'est même permis de ramener ses premiers virus et nous laisse présager le meilleur à ce chapitre. On ne peut plus attendre la saison de la gastro ... Le professeur de Laura, n'ayant toujours pas digéré que sa protégée la délaisse pour six mois, question d'avoir un enfant, n'a rien fait pour un retour au travail graduel. Allant même jusqu'à informer l'instance gouvernemental de ce retour au travail graduel. Le résultat étant qu'à moins d'un changement, Laura ne pourra toucher sa bourse avant septembre. Une vraie saloperie, particulièrement d'une femme ayant elle-même des enfants. Mais la carrière passe avant les enfants pour cette carriériste dont le laboratoire a du licencier ses techniciens pour terminer la dernière année, par manque de fonds. On se serrera la ceinture, parce qu'il n'est pas question que notre bébé se retrouve à la garderie 5 jours semaine.

Nous sommes à Gatineau cette fin de semaine. Ma mère a décidé d'organiser une fête surprise pour les 55 ans de mon père. Son arrivée au restaurant fut somme toute intéressante. Un peu gêné devant la vingtaine de personne qui lui chantait bonne fête. Sa réaction toutefois, lorsqu'il a reconnu Eva dans les bras de sa mère laisse sans mots. Il a complètement oublié la foule l'entourant, rentrant dans une bulle ou lui et bébé ne faisait qu'un. Tellement dans sa bulle et content de voir sa petite fille, il s'est permit de verser de longue larmes de bonheur, lui qui m'en voulait depuis trois jours d'avoir décidé d'allé à Kingston pour la fin de semaine ... Un petit mensonge qui a eu tout son effet. N'empêche que ça valait le détour.

Sur ce, bonne fin de semaine.
Bonne fin de vacances pour Sébastien ...
Fred, tu m'avises quand ce sera le temps de rénover le haut ...

mardi 1 mai 2007

À nous 3 maintenant!!!

Voici une ébauche de notre blogue...Les catégories ne sont là qu'à titre indicatif pour l'instant. Si vous avez d'autres idées (Martin dsl j'ai oublié les autres) faites-moi le savoir. Aussi, bien vouloir utiliser la case "Libellés" afin d'y inscrire la catégorie dans laquelle vous voulez placer votre message. Par exemple ce message sera dans divers, comme vous pouvez le constater dans la case "Libellés" (c'est assez clair je crois). Sur ce, je nous souhaite beaucoup de plaisir sur notre nouveau blog!