dimanche 19 août 2007

En vacances, avec TOUTE la belle-famille.

Je suis en vacances. Je ne suis jamais en congé au mois d'août. Mais cette année est un peu différente. Ayant toujours deux semaines à prendre de mon congé de paternité, nous avons décidé de joindre les familles Henry et Pickell pour des vacances au bord de la mer. Bien que ça ne semblait pas faire l'affaire du patron, nous avons tout de même décidé de partir.
Nous avons quitté la maison à 20h00 vendredi. Avec une petite Eva fort fatiguée. Nous supposions que bébé allait s'endormir rapidement et que nous aurions parcouru les trois quarts de notre périple avec l'esprit tranquille. Quelle erreur ! Quatre heures de pleurs et de crises plus tard, nous avons finalement trouvé un endroit pour reposer nos oreilles et nos coeurs de parents. Mais au prix de toute une argumentation et de débordements, tant de la mère, tant du père et bien évidemment, du bambin.
Nous sommes repartis à 11h00 le lendemain pour un leg beaucoup plus tranquille. Arrivé à la maison Seacroft, nous avons réquisitionné une chambre. Pas la plus belle, parce que ça aurait été égoïste de notre part envers l'oncle organisateur, mais quand même une des plus grandes. Au diable les parents et grand-parents, je n'étais pas pour piaulé une semaine dans un lit simple et le bébé avec nous. Évidemment, les soeurs de la chérie ont soulevés quelques commentaires mais disons que le bébé demeure un argument de taille. Faudra en faire un autre quand les privilèges s'épuiseront. Petite soirée tranquille, à manger du porc saignant, des patates trop cuites et un vin moyen. Mais tout le monde était de très bonne humeurs et le repas fut vite oublié, les coupes de vin et les Coronas s'enfilant à bon rythme. Il s'agissait d'une très mauvaise préparation pour la nuit à venir. En guise de revanche pour leurs chambres de qualité moindres, les belles-soeurs se sont assurés de réveiller toute la maisonnée à deux heures ce matin. Bébé ne voulait pas retrouver le sommeil qu'à trois heure trente, ce qui ne fut pas sans me mettre l'esprit malin. Je me promets un retour d'ascenseur assez brutale. Ça va être sournois et chien. Du Bisson à son meilleur. Dans le genre, tu me donnes un coup de poing et je te pile dessus avec mon char.
Au programme aujourd'hui: visite des lieux et préparation de coup fumant. Des idées à me suggérer.